skip to main |
skip to sidebar
Sentence de Râbiah Un homme hors de lui disait à Dieu : " Ô Dieu ! ouvre moi enfin une porte pour parvenir à toi." Râbiah était assise là par hasard et elle lui dit : " Ô insouciant ! est ce que cette porte est fermée ? "
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSuizLEZboY9TXWeS01kWXilHq-14uGdxuKSK5WxK1W8tE1VO9MO1WeWhVxKF8sx5DB2ACgfaVV0SHZu-em6_2qS6vwuCGHAuDzTKXLOx0p4d6eb3QD5_mFIcjm63lPXQp3oqIGQV1_jU/s400/Photo145.jpg)
"
Afin de parler, une nécessité, écoute d'abord,
apprend à parler par l'écoute. "
Rumi, Mathnawi (Mesnevi), I, I627
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjq_7BkKOaRnRuDbBT-ZvFmtUVPdxEyNzl_rHFsz-Ijc4bRCInu9c1yqeu3C98y3BRwYCy7BuDmBwxSvkNQzptCwVFezZoro1flu1vYrghf1rFlZ4spOYMA2XyOtKVymxG3EaCe_Fk84OQ/s400/Photo126.jpg)
Il n'existe qu'un seul ordre parfait : celui des cimetières.
Les morts ne réclament jamais et ils jouissent en silence de leur égalité...
Jean-Louis Gagnon
Extrait de La mort d'un nègre
XXIX
Voyageur, le chemin
Sont les traces de tes pas
C'est tout
Voyageur, il n'y a pas de chemin,
Le chemin se fait en marchant
Et quand on tourne les yeux en arrière
On voit le sentier que jamais
On ne doit à nouveau fouler.
Voyageur, il n'est pas de chemin,
Rien que sillage sur la mer.
XLIV
Tout passe et tout demeure,
Mais notre affaire est de passer,
De passer en traçant des chemins,
Des chemins sur la merProverbes et Chants